• Réponse : Lana Del Rey, Born to Die

    La malheureuse Lana Del Rey, douce voix sortie des tréfonds new-yorkais passait à la guillotine en six, sept paragraphes sur LaPéniche.net, et ailleurs sur la toile. Mais comme le monde n’appartient pas aux hipsters, la contre-critique pullule… La belle a le mérite de ne laisser de marbre personne, depuis quelques suaves déclarations d’amour susurrées sur fond de clip bricolés maison. Qu’a t elle compris, depuis les échecs de sa voix auparavant haut perchée et de sa blondeur fadasse ? Qu’elle n’avait rien à perdre à révéler sa personnalité et son univers torturé, ou bien qu’un tel personnage serait bien plus…