• « Habibi, les révolutions de l’amour » : l’intime politique

    À l’Institut du Monde Arabe jusqu’au 19 février, l’exposition « Habibi, les révolutions de l’amour » aborde la question du genre et de la sexualité dans le monde arabe sans tomber dans le discours militant. Préférant un angle intimiste, les artistes livrent avec force leurs expériences aussi bien à travers la photographie que la peinture ou la performance.  Ce qui se passe au lit dépend de ce qui se passe en politique. Voilà comment le réalisateur égyptien Youssef Chahine justifie la prégnance de messages engagés dans ses films, généralement destinés à faire passer la dramaturgie avant le débat. Dans le monde arabe…

  • La Péniche du Love #2 – Courrier du cœur pour matelot.e.s en mal d’amour, spéciale Saint-Valentin

    A la suite du succès phénoménal de notre première édition du Courrier du Cœur de La Péniche, voici la tant attendue deuxième édition spéciale Saint-Valentin, où notre quatuor de Docteurs et Doctoresses du Love devient sextuor (c’est de circonstance), avec l’arrivée de l’Ange Bisous et de Dancing Queen. Tu es fasciné.e par la sagesse des réponses de nos docteurs et doctoresses de l’amour ? Tu aimerais, toi aussi, te voir conseillé.e, consolé.e, guidé.e ? N’hésite plus et remplis donc ce fabuleux formulaire anonyme, nos experts se dépêcheront de répondre à tes tracas. https://goo.gl/forms/CNtvzFbGPWiQ25pw2 Place aux questions !  Je suis seule.…

  • Le Mag’ : Mektoub, my Love, jeunesse envoûtante et ensoleillée

    La bande-annonce du nouveau film d’Abdellatif Kechiche est riche en promesses. Mêlant musique disco, plans ensoleillés et visages juvéniles, elle semble dessiner les contours d’un film situé entre photos de vacances postées sur Instagram et hymne à la jeunesse, ce qui peut potentiellement aller de pair. Sous le charme, on se laisse donc tenter par les trois heures de (longue) parenthèse procurée par « Mektoub, my love : canto uno » dans un cinéma obscur du Boulevard Montparnasse. À l’issue de ces trois heures, la fascination prévaut. Le film est passé lentement et simplement, offrant aux yeux fatigués de la dizaine de spectateurs…