• Interview : Grace Libissa pour le CNP

    C’est dans un tourbillon d’énergie très BDA-esque que Grace nous présente le Concours Nouvelles et Poésies (CNP pour les intimes), dernier bébé de l’assoce qui réveille vos talents cachés. A vos plumes (et vite, la deadline est le 12 mars) !

  • L’immeuble Yacoubian, Alaa El-Aswany

    Le Caire, début des années 1990. En plein cœur de la ville, l’immeuble Yacoubian témoigne d’une splendeur passée et de l’émergence de l’Egypte d’aujourd’hui. Des personnages tiraillés par leurs rêves et leur nostalgie se croisent dans ce prestigieux bâtiment.

  • La physique des catastrophes, Marisha Pessl

    Besoin d’une idée de cadeau de Noël ? Offrez un pavé ! Enfin un demi-pavé, car les 600 pages du premier roman de Marish Pessl, jeune écrivain américaine, se digèrent avec une facilité déconcertante. Mais quelle est l’histoire qui se cache derrière ce titre énigmatique ?

  • Babeth la première et Loulou le quatorzième font encore parler d’eux

    Aime t-on encore l’Histoire à Sciences-po ? Je l’espère. Et maudit soit celui qui ne ressent rien à l’écoute des récits de ceux qui ont fait le monde tel qu’il est. Pour Noël, l’Histoire avec un H gigantesque s’invite dans nos médias et depuis ma petite capitale irlandaise j’ai tout vu en avance alors je vous prédis l’avenir : érudits, érudites, historien confirmés et néophytes, voici deux grandes sorties à ne pas louper.Quand les historiens rencontrent la grande distribution, on n’obtient pas nécessairement que du Berstein & Milza… Bientôt sur vos écrans ‘Elizabeth, the Golden Age’ de Shekar Kapur et dans vos…

  • Action et solitude : La condition Humaine selon Malraux

    André Malraux fait partie de ces auteurs (mais en existe-t-il d’autres ?) dont la vie et l’œuvre sont profondément liées. On ne peut écrire sur La condition humaine sans (re-)présenter son auteur. La vie du dandy Malraux ne fut qu’action ; il courut d’aventures archéologiques en affrontements politiques, de la guerre d’Espagne au 30 mai 1968. Ces luttes ne sont pas sans lendemain, elles s’inscrivent dans le temps, au point que Malraux désire « marquer le siècle de cicatrices », autrement dit devenir immortel par son oeuvre. Celle-ci n’a de sens que comme réponse aux interrogations et aux espoirs d’une génération.