• LE MAG – 7 oeuvres en compétition pour le 7ème prix Sciences Po pour l’art contemporain

    La septième édition du Prix Sciences Po pour l’art contemporain a été lancée fin janvier 2016 par une équipe de quatre étudiants en master : Julie Ackermann, Olivier Alexanian, Lydia Foster et Thibaut Vignez-Scoth. Tout en gardant l’héritage des années passées, ils ont souhaité rompre avec la sélection d’un artiste par une personnalité du monde de l’art. Désormais, tous les talents de moins de 35 ans, ayant déjà été exposés et/ou étant diplômés d’une école d’art peuvent candidater. Le Prix Sciences Po pour l’art contemporain est aujourd’hui désireux de s’inscrire « une perspective d’ouverture », qui s’est aussi manifestée lors de l’organisation d’une conférence sur…

  • LE MAG – Le guide du Prix Sciences Po pour l’Art Contemporain

    Quel lien entre un étang, une capsule insonorisée et un paravent, hormis celui de faire une belle phrase d’accroche? Ce sont trois œuvres qui ont la particularité d’intriguer le public, de faire naître une résonance particulière par leur non-conformisme. C’est ici tant la création qui est essentiellement interrogée que sa réception par le public puisque la position prise par l’artiste au regard de son milieu, de son environnement, détermine le rapport de médiation qu’elle exercera avec le public. L’art permet ainsi à « quelque chose de très insignifiant de devenir universel » selon Palmyre, co-organisatrice du Prix. Pour cette étudiante du Master Communication de Sciences Po,…

  • Une nouvelle année avec Sciences Polémiques

    A la question de ce qu’est l’art oratoire, Socrate avait répondu : « L’art oratoire n’est pas un art, mais un savoir-faire qui produit du plaisir ».               Ce savoir faire, nous avons tous rêvé d’en être doté, d’acquérir cette aisance et spontanéité en toute occasion et peu importe l’interlocuteur. C’est peut être même l’un des premiers malaises que beaucoup éprouvent en entrant à Sciences Po. Marion, élève de première année, se rappelle du sentiment d’infériorité et de ridicule qu’elle a éprouvé face aux démonstrations d’éloquence de ses camarades durant son stage d’intégration. « Ils parlent déjà comme des journalistes » s’était-elle dit.…