• UMP Sciences Po, l’année folle

    « En 2012, on était détestés. Etre de droite était un tabou, on était reconnus dans les derniers.» C’est avec ces mots que Charles-Henri Alloncle, l’actuel président de l’UMP Sciences Po, se souvient de ses débuts de militant. Depuis, ce parti de droite, traditionnellement minoritaire dans une école « majoritairement de gauche », a connu une ascension fulgurante. Aujourd’hui, le président de l’UMP Sciences Po se dit plus que fier du bilan 2014-2015 de l’association, une des plus dynamiques de l’école : 90 adhérents à jour de cotisation, 27 évènements depuis septembre. L’UMP Sciences Po avait d’ailleurs annoncé la couleur…

  • Municipales : ces sciencepistes qui entrent à la mairie

    Parmi la masse d’étudiants de SciencesPo candidats aux élections municipales, 21 sont finalement parvenus à entrer dans un conseil municipal. La plupart d’entre eux avaient en fait déjà été élus le week end dernier, au terme du premier tour du scrutin, à l’image de Robin Reda élu maire de Juvisy à seulement 22 ans, et symbole de la réussite des candidats sciencepistes. Nous avons recensé de manière exhaustive les différents étudiants de SciencesPo élus dans leurs communes respectives. On notera une sur-représentation des candidats de droite, deux fois plus nombreux que les élus étiquetés PS ou divers-gauche, en particulier hors…